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Le Chant de la Terre – Pour Mahler 

Jocelyn Mienniel, Olivier Cadiot

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Présentation

Un flûtiste et un poète réinventent le chef d’œuvre de Gustav Mahler, en compagnie d’une soprano, de musiciens traditionnels asiatiques, d’un chœur d’enfants, d’interprètes en langue des signes… 

Joce Mienniel direction artistique, composition, flûtes, guimbardes, électronique – artiste en résidence à Royaumont (2020 – 2024)
Olivier Cadiot texte
Johanna Vargas soprano – artiste en résidence à Royaumont (2021 – 2024)

Shao-Huan Hung sheng
Yaping Wang yangqin
Roberto Negro piano, piano préparé, célesta, synthétiseur monophonique
Simon Drappier contrebasse, synthétiseur basse monophonique
Sylvain Lemêtre percussions, bols, métaux, gongs
Hélène Maréchaux violon
Cécile Roubin violon
Oriane Pocard Kieny alto
Arthur Heuel violoncelle

Le chœur d’enfants :
Tanya Anors, Kenza Chenni, Tiago De Sousa Gomes, Amandine Denon, Serine Douadi Assil, Ethan Gentil, Jenna Houblon, Mamadi Kaba, Thomas Lacheheb Gravillon, Maïssane Mofid, Salem Ouled Edem, Ismaël Selhami Marin, Kadiatou Sheriff, Maïmouna Traore, Marcio Vieira Furtado de l’école Paul Eluard de Persan, cheffe de choeur Emmanuelle Gal
Inès Ait Aissa, Alicia Atlan-Clement, Olivia Atayi, Nathan Bossadi, Hana Bouchene, Corentin Chilliard, Agnès Daire, Effy Dao, Nataël Deborne, Jeanne Rose Fidele, Kalista Firmin, Alexandre Georges, Teïla Goncalves, Maya-Aïcha Kebe, Maëlle Lassalle, Eléa Maucuit, Seynabou Ndiaye, Emma Pennont, Julie Regnier, Coralie Tapping-Vivanco, Saadia Traore, Léa Ait Aissa, Raphaël Coelho De Oliveira, Arwa Guessaf, Eladgi Kebe, Léonor Martins, Teresa Padonou, Elea Sempiana, Ilef Zarrai de La Chanterie du CRC de Persan, cheffe de chœur Marie-Christine Laviron
Patrick Laviron coordination

Fiona Monbet direction
Jean-Christophe Quenon récitant
Céline Grangey réalisation sonore

Avec la collaboration d’Anna Stoll Knecht, musicologue, chercheuse associée à la Bibliothèque musicale La Grange-Fleuret.
En présence de Marina Mahler, présidente de la Mahler Foundation
Ce spectacle est interprété en langue des signes française par le collectif 10 Doigts En Cavale

Parfois, la terre console. En 1907, au moment où il traversait de terribles épreuves (la mort de sa fille Maria, son éviction de l’opéra de Vienne et le diagnostic d’une maladie cardiaque…), Gustav Mahler a trouvé refuge dans une anthologie de poèmes chinois, notamment de Li Bai, qui vantaient la beauté de la nature. Au bord du lac de Dobbiaco, petite ville du nord-est de l’Italie surplombée par les parois à pic des Dolomites, il s’en est inspiré pour écrire son Lied von der Erde, suite de six Lieder où s’entrechoquent la nostalgie et l’ivresse, la révolte et les regrets, l’admiration du vivant et la prémonition de sa disparition.
Parfois, la terre souffre. Plus d’un siècle plus tard, deux artistes réadaptent ce Chant de la Terre. Le premier est le flûtiste et compositeur Jocelyn Mienniel, électron libre de la nouvelle scène jazz, issu du Conservatoire Supérieur de Musique de Paris avec un Premier Prix, vivement intéressé par les musiques asiatiques, comme l’avait révélé son spectacle d’entrée en résidence à Royaumont, Circles (variations sur cinq tableaux de Fabienne Verdier). Le second, Olivier Cadiot, est l’un des plus grands poètes français contemporains. Par-delà la traduction de poésie, qui l’avait tant occupé lors de son long séjour à l’abbaye dans les années 80, il propose une réflexion personnelle sur les sources d’inspiration du compositeur viennois. Ce nouveau texte, Pour Mahler, paraît aux éditions P.O.L. en septembre. L’œuvre qui naît de leur rencontre entrelace donc poèmes et chants. Autour d’eux se pressent une soprano très expressive, un joueur de sheng (l’orgue à bouche chinois) et une joueuse de « yangqin » (la cithare à cordes frappées), un quatuor à cordes et un chœur de 50 enfants. Le spectacle est chansigné : un interprète traduit les paroles en langue des signes. Donnée à l’abbaye à l’heure où se concluent les Jeux Paralympiques de Paris 2024, porteuse comme eux de valeurs aussi capitales que le partage et l’égalité, cette relecture du chef d’œuvre testamentaire de Mahler l’ancre dans le temps présent. Le lien si fragile qui unit l’homme au reste du vivant, son regard sur les paysages qu’il a connus et qui disparaissent du fait du changement climatique, ainsi que l’espoir fou d’une réconciliation avec son environnement, tout cela résonne encore dans le poignant thème de l’Adieu, sommet de lyrisme contemplatif qui s’achève par le célèbre « La terre bien-aimée / Refleurit au printemps et reverdit / Partout et toujours une lumière bleutée à l’horizon / Toujours, toujours, toujours… »

durée : 1h15 | tarif : B


Mécénat, soutiens, production et coproductions

Production : Fondation Royaumont

Coproduction : Cité de la musique – Philharmonie de Paris, Compagnie Drugstore Malone.

Avec le soutien du Groupe ADP, de la SACEM, de la Fondation d’entreprise Société Générale et de la Fondation Camargo.
Avec le généreux soutien d’Aline Foriel-Destezet.

En partenariat avec le Conservatoire à Rayonnement Communal de Persan, la Bibliothèque musicale La Grange-Fleuret, la Mahler Foundation. « Olympiade culturelle département du Val d’Oise », L’ART DU COLLECTIF L’ART DU COLLECTIF bénéficie du soutien du Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques – Paris 2024, du ministère de la Culture (Direction régionale des affaires culturelles d’Île-deFrance), de la Préfecture du Val d’Oise et du Département du Val d’Oise.

Avec le soutien du ministère de la Culture – Direction régionale des Affaires culturelles d’Île-de-France – Ministère de la Culture.

Le Groupe ADP est partenaire de la Fondation Royaumont et soutient son action ancrée dans son territoire avec un rayonnement international, notamment à travers ses programmes d’échanges artistiques et actions de sensibilisation à la culture pour les enfants et jeunes riverains des plateformes aéroportuaires d’Ile-de-France.

Partenaire historique de Royaumont, la SACEM soutient le Pôle création musicale de la Fondation.

La Fondation d’entreprise Société Générale est mécène pilier des programmes musicaux de la Fondation Royaumont. La Fondation Camargo a accueilli Joce Mienniel pour une résidence d’écriture.

Programmation du Festival


Dans le cadre de la journée « Chanter la terre entière »

Samedi 7 septembre

Une Japonaise dans un hôtel, lointaine cousine de Cio-Cio-San, la « Madame Butterfly » de Puccini, des musiciens d’origine asiatique participant à la relecture du Chant de la Terre de Mahler par le compositeur Jocelyn Mienniel et le poète Olivier Cadiot… L’Asie et l’Europe résonnent, autant que le passé et le présent, dans les deux créations exceptionnelles d’ouverture du Festival.

Festival de Royaumont 2024


Consulter les biographies des artistes

Joce Mienniel

* 2020-2024 : artiste en résidence à Royaumont
2020 : Circles – Variations sur cinq tableaux de Fabienne Verdier ; 2021  : Serpent des mers et autres contes et concert de l’Académie de musique Transculturelle, dans le cadre du Festival de Royaumont ; 2022 : Dress code, dans le cadre du Festival de Royaumont ; concert-projection «Starlings», dans le cadre des Dimanches à Royaumont ; juin 2024 : «Bal au bord de l’eau», dans le cadre du week-end Jours de fête

Flûtiste, orchestrateur et compositeur,le très large spectre de ses influences et activités rend ce musicien définitivement hors norme, difficile à classer. Fondateur du Label Drugstore Malone, il offre un langage de synthèse bien à lui, à travers un monde poétique, onirique et foisonnant.Multipliant les collaborations avec des artistes du monde entier dans le jazz, les musiques improvisées, l’électro, la pop, les musiques du monde, et le cinéma, il explore les nombreuses techniques étendues offertes par la flûte, élargissant sans cesse son territoire de jeu et d’inspiration.

Olivier Cadiot

* 1986-1987 : en résidence à Royaumont ; 1986-1997 : participation à 14 séminaires de traduction et co directeur, avec Emmanuel Hocquard, de la collection « Écho & Co à Royaumont » aux éditions Royaumont, qui comptera deux titres en 1989 et 1991.

Olivier Cadiot a publié en 1988 aux éditions POL un premier livre de poésie l’Art poétic’. Depuis 1993, il a entrepris une longue série de romans centrés sur le même personnage qui débute par Futur, ancien, fugitif jusqu’à Médecine générale, en 2021. Il travaille régulièrement avec des musiciens et des compositeurs et particulièrement avec Rodolphe Burger avec qui il a signé trois  disques dont Psychopharmaka. Il a traduit Gertrude Stein, Ibsen et Shakespeare En 2010, il était artiste associé du Festival d’Avignon avec Christoph Marthaler. Dernier ouvrage paru en 2023, aux éditions POL : Irréparable.

Johanna Vargas

* 2021 : concerts «Countless» et «Stimmung» au Festival de Royaumont ; 2022 : interprète de l’Académie Voix Nouvelles ; Concert – rencontre : le duo piano voix renouvelé, avec Magdalena Cezero dans le cadre des Dimanches à Royaumont ; “Court-circuit, Johanna Vargas & Yaron Deutsch, concerts de l’académie Voix Nouvelles” au Festival de Royaumont.

Johanna Vargas compte parmi les sopranos les plus polyvalentes et les plus recherchées. Forte d’une expérience dans des genres allant du bel canto à la musique pop, elle commande une gamme d’expressions vocales qui lui ont apporté un succès critique, populaire et compétitif dès son plus jeune âge. La beauté vocale et la virtuosité de la colorature de Johanna Vargas s’accompagnent d’une présence physique et d’un jeu d’acteur irrésistibles, aussi à l’aise dans les environnements théâtraux et expérimentaux que dans les exigences nuancées de la musique de chambre et du solo en salle de concert.

Shao-Huan Hung

Le taiwanais Shao-Huan Hung découvre le Sheng à l’âge de 9 ans. La musique chinoise a été la base la plus solide de son parcours artistique, jusqu’à ce qu’il se passionne pour le jazz. Il déménage en Europe et étudie au Koninklijk Conservatorium de Bruxelles. Il est la première personne à y étudier un instrument chinois. Depuis l’obtention de son master, il compose et s’adonne au modern jazz, à la musique improvisée et électronique, tout en développant ses propres couleurs.

Yaping Wang

La compositrice Yaping Wang est une musicienne taïwanaise polyvalente. Sa musique est une fusion des esthétiques de la musique contemporaine et traditionnelle, en explorant une large palette de genres musicaux en passant par le tango, le jazz, le rock, l’électronique et le baroque. Pratiquant l’improvisation, elle a été invitée dans de nombreux festivals (Radio France, Festival Berlioz…). En 2019, elle crée son label Penny King Music. Elle participe au projet Circles du compositeur Jocelyn Mieniel à Royaumont depuis 2020.

Roberto Négro

Roberto Negro est un compositeur, pianiste et producteur dans les musiques de création. Il fusionne écriture contemporaine et improvisation, naviguant du solo à la musique pour grand ensemble. Sa musique se forge au gré de collaborations, comme celles avec l’Ensemble intercontemporain, le Quatuor Belà ou le Lemanic Modern Ensemble. Lauréat des Victoires du Jazz en 2018, il propose un autre regard sur des œuvres du XXe siècle, en duo avec Emile Parisien. Ainsi sortent Les Métanuits (ACT 2023), inspiré des Métamorphoses Nocturnes de Ligeti et prochainement La Mer, d’après l’œuvre de Claude Debussy.  Roberto propose au sein des musiques contemporaines un univers solaire, minutieux et intense.

Simon Drappier

Né dans dans une famille de scientifiques, Simon Drappier explore la musique comme d’autres découvrent des planètes. Il s’initie avec la guitare électrique puis obtient un prix de guitare classique. Toujours à la recherche de nouveaux sons, il jette son dévolu sur la contrebasse et entre au CNSM pour y étudier la musique classique, le jazz et l’improvisation.  Instrumentiste, compositeur et improvisateur, il dépasse les frontières entre musique électronique et musique instrumentale avec le groupe de techno acoustique Cabaret Contemporain.

Sylvain Lemêtre

Percussionniste, interprète et improvisateur, il défend l’exploration et la création contemporaine des musiques vivantes écrites, orales ou libres, notamment dans L’Ensemble Cairn dirigé par Jérôme Combier, Noce quatuor deux pianos deux percussions avec Denis Chouillet, Roberto Negro et Benjamin Flament, Superklang duo avec Frédéric Aurier, La Soustraction des Fleurs Jean-François Vrod, Sonore Boréale solo autour des textes d’Olivier Mellano, Cluster Table – duo de percussions, Adieu mes très belles Matthieu Donarier. Compositeur autodidacte, il compose pour ses formations et le cinéma.

Hélène Maréchaux

Après des études au CNSMDP, en Angleterre et en Allemagne, Hélène joue à l’Orchestre Symphonique de la radio bavaroise sous la direction de Mariss Jansons, puis à l’Orchestre de Chambre de Munich tout en développant en parallèle une activité de musique de chambre, qui l’amène à jouer dans les plus grandes salles. Elle alterne entre répertoires baroques, classiques et modernes, notamment au festival Présences. On a pu la voir en violon solo au Théâtre d’Augsburg ou à l’Orchestre Philharmonique de Radio France mais aussi avec les ensembles Miroirs Etendus, Le Balcon, Tm+, 2e2m et C barré.

Arthur Heuel

Désireux de partager les valeurs portées par la musique, Arthur Heuel explore le monde du violoncelle avec ambition et curiosité. Convaincu des multiples rôles que peut jouer son instrument, il défend aussi bien le répertoire classique que contemporain, et aborde jazz et musiques traditionnelles avec intérêt. Son investissement pour la musique de chambre l’amène à se produire aux festivals de Verbier, d’Aix-en-Provence, de la Roque-d’Anthéron. En 2024, il rejoint le Quatuor Voce avec lequel il mène une carrière en France et à l’international. Il joue un violoncelle d’Auguste Bernardel de 1839.

Cécile Roubin

Cécile Roubin fonde durant ses études au CNSMDP le Quatuor Voce auquel elle consacre depuis 2004 sa vie de musicienne. Sa carrière allie à la fois une activité intense de concerts et de productions discographiques, une part d’enseignement, et un engagement particulier dans la création et la production de concerts originaux et de spectacles transversaux. Cécile a été invitée des plus grandes scènes européennes (Philharmonie de Paris, de Berlin, Concertgebouw d’Amsterdam, Wigmore Hall de Londres…). Elle s’engage également pour la musique contemporaine, en commandant régulièrement des œuvres.

Oriane Pocard Kieny

Oriane Pocard Kieny étudie l’alto au CNSMDP dans la classe de Sabine Toutain et de Christophe Gaugué, et au Cleveland Institute of Music, dans la classe de Jeffrey Irvine. Elle multiplie en parallèle des expériences d’enseignement et de musique de chambre, parmi lesquelles un été au festival Interlochen Center of the Arts, Michigan, au sein du Coventry String Quartet. Elle travaille régulièrement au sein de nombreuses formations telles que l’Orchestre de Paris, l’Orchestre National de France, Les Dissonances, la Camerata Nordica, l’Orchestre de l’Opéra de Paris, les Frivolités Parisiennes…

Fiona Monbet

Fiona Monbet est une artiste franco-irlandaise. Violoniste, cheffe d’orchestre et compositrice, elle défend un répertoire large qui s’étend du classique à la création contemporaine. Formée au conservatoire national supérieur de musique de Paris, elle est depuis 2017 la directrice musicale de la compagnie Miroirs Étendus.
Sa double culture jazz et classique et sa proximité avec les musiques traditionnelles permet à Fiona de diriger des projets de rencontre de l’univers de l’orchestre symphonique avec les musiques actuelles, jazz ou musiques du monde.

Jean-Christophe Quenon

Né à Bruxelles, formé aux Conservatoires Royaux de Bruxelles et de Mons puis au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris, Jean-Christophe Quenon joue au théâtre, au cinéma et à la télévision sous la direction de Philippe Adrien, Olivier Assayas, Guillaume Barbot, Julie Brochen, Dante Desarthe, Declan Donnellan, Alexandre Gavras, Valérie Lemercier, David Lescot, Nicolas Liautard, Sarah Oppenheim, Catherine Riboli…  Sa passion pour les textes et la musique (il est pianiste, percussionniste et tromboniste) l’amène à participer régulièrement à des lectures publiques, des créations pluridisciplinaires et des concerts.

Céline Grangey

Passionnée par la musique classique et le jazz, Céline s’oriente naturellement vers le métier d’ingénieur du son. Elle intègre la Formation Supérieure aux Métiers du Son du CNSMDP et effectue de nombreux stages en France et à l’étranger. En plus de nombreux enregistrements discographiques comme ingénieure du son et directrice artistique, elle développe aussi son activité autour de la captation audiovisuelle et enseigne la prise de son classique au CNSMDP. Toujours très investie dans le jazz et les musiques improvisées, elle sonorise les concerts et accompagne en studio de nombreux ensembles.

La Chanterie du Conservatoire à Rayonnement Communal de Persan

Créée en 1989, La Chanterie est un ensemble vocal à voix égales composé de garçons et de filles de onze à dix-huit ans. Ces élèves reçoivent une formation musicale complète. Son répertoire est essentiellement composé de musiques du XXe siècle.
Certains de ses membres sont issus des classes « Chant choral », dont celles de l’école Paul Eluard 2, initiées dans le cadre d’une action forte d’Éducation Artistique et Culturelle qui touche près de 1700 scolaires.

Marie Christine Laviron

Violoniste, chef de chœur, elle dirige La Chanterie du CRC de Persan depuis sa création. Avec cette formation, concerts en Europe, aux USA et Japon, nombreuses Créations d’œuvres et Mention spéciale au Florilège de Tours. Directrice artistique du projet « Dix mois d’école et d’opéra » (2005-2011 – Opéra de Paris).

Emmanuelle Gal

Chanteuse dans divers ensembles de musique ancienne (Les Arts Florissants, La Chapelle Royale, Sagittarius…), suite à l’obtention du DE de chant et du DUMI, se consacre dorénavant à la pédagogie au conservatoire de Persan et au CMB de Versailles en tant que chef des chœurs d’enfants et des CHAM primaires.

* Collaborations antérieures avec Royaumont

A la librairie-boutique de l'abbaye

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  • Ruines de l'abbatiale

Infos pratiques / Billetterie

Par téléphone :
01 30 35 58 00

Les samedis du Festival, Royaumont vous propose deux options pour se restaurer : la Table de Royaumont, et la planche gourmande.

La Table de Royaumont | 42,50 €/pers.

Installée en galerie Nord, une des plus belles salles voûtées de l’abbaye, la Table de Royaumont s’inscrit dans la tradition culinaire française, dans un esprit d’ouverture, de créativité et de saisonnalité.

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La planche gourmande | 29,50 € pour 2 personnes

Un assortiment de charcuterie, de fromages et de légumes à croquer, à déguster au bar-salon de thé entre deux spectacles.

réserver une planche

Tous les week-ends du Festival, profitez des navettes au départ de la gare de Luzarches.

Assurant la liaison avec la gare de Luzarches (ligne H), les navettes permettent de rejoindre l'abbaye en 8 minutes, soit moins d'une heure de trajet depuis la gare du Nord.

Le samedi soir, après le dernier concert, une navette spéciale est mise en place pour vous accompagner jusqu'a Paris (Place Maréchal-Juin).

 

La réservation des navettes se fait exclusivement sur internet :
réserver un aller | réserver un retour | réserver un aller-retour | réserver un retour jusqu'à Paris

  • Vous pouvez réserver jusqu'au jour de votre venue à 9h, sous réserve de disponibilité.
  • Le nombre de places étant limité, la réservation est indispensable.
  • Une participation de 2€ est demandée