[Festival 2023] Au commencement (et à la fin) était la danse !
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Cette année, la danse ouvre et clôt le Festival de Royaumont.
Le début des festivités, le samedi 9 septembre, est en effet confié au chorégraphe Hervé Robbe, par ailleurs directeur artistique du Pôle Création chorégraphique de la Fondation. Hervé Robbe confie à dix jeunes artistes le soin de réinventer l’une de ses pièces phares, Factory, l’une des premières expériences de chorégraphie immersive, créée il y a tout juste trente ans.
Nouveau visage de la danse contemporaine, Leïla Ka lui succède le 23 septembre avec C’est toi qu’on adore, une pièce qui pose mille questions brûlantes sur l’identité féminine, la société et la coexistence.
A Royaumont, la danse est pour tous les publics, y compris le plus jeune. Le 24 septembre, Alice Lambert et Lucie Palazot entonnent donc avec L’envol un hymne à la liberté intérieure très librement inspiré de Peter Pan.
De son côté, Tom Grand Mourcel réfléchit à ce qui fait l’identité rythmique, à travers les musiques électroniques.
Le même jour, le 8 octobre, Alban Richard conclut le Festival avec un grand spectacle pluridisciplinaire, qui mêle danse et poésie, instruments baroques et new wave. Avec Come kiss me now, Alban Richard fait briller le soleil noir de la mélancolie dans le cœur de chaque spectateur.
La danse au Festival de Royaumont 2023
Lever de rideau : Pourquoi revisiter Factory aujourd’hui
Catherine Tsekenis + Priscille Lafitte
30 ans après, Hervé Robbe revisite avec de jeunes artistes une pièce qui avait marqué l’histoire de la danse – Rencontre animée par la journaliste Priscille Lafitte
Une réflexion dansée sur l’identité rythmique, sur la manière dont notre corps traduit une pulsation, à travers les musiques électroniques, du hip-hop à la techno